Les candidats du M1 sont admis dans un des parcours de M2, mais pas nécessairement à leur premier choix, en particulier si les seuils d’effectifs maximum du parcours « Modélisation Prospective : Économie, Environnement, Énergie » sont atteints.
Les candidats admis issus d’un cursus scientifique ou ingénieur se voient offrir un renforcement en économie alors que d’autres candidats se voient offrir un renforcement en statistiques et en mathématiques selon leurs besoins.
Un entretien d’admission pour juger de la motivation pour les questions de transition écologique, énergétique, de climat et d’environnement pourrait être proposé aux candidats pré‐sélectionnés sur dossier.
Etre en capacité de réaliser des travaux de modélisation prospective et des études d’impact à l’aide de modèles intégrés énergie-environnement-économie.
Etre en capacité d’expertiser des travaux de modélisation prospective dans le champ énergie-environnement-économie.
Maîtriser les outils et méthodes nécessaires à la recherche en économie de l’environnement et de l’énergie dans le but de préparer une thèse.
Contribuer, grâce aux outils scientifiques et aux instruments économiques, à la résolution des problèmes environnementaux et de développement durable pour une gestion raisonnée des ressources.
Concevoir des outils permettant des analyses quantitatives des aspects économiques et environnementaux et de nouveaux modèles économiques intégrant des critères sociaux et environnementaux dans une entreprise ou une administration.
Participer à des travaux pluridisciplinaires d’évaluation de scénarios climatiques et de transition énergétique.
Le parcours « Modélisation Prospective : Économie, Environnement, Énergie » a une orientation « recherche /études » plus marquée que les autres parcours de la mention. Il vise en particulier des débouchés en thèse et dans les directions « études et recherche » des grandes entreprises, de la fonction publique et des organisations internationales. Il est également destiné à des métiers de services et de conseil – et vise comme débouchés les services études et recherche des grandes entreprises et centres de décision (fonction publique, organisations internationales) comme la recherche académique (grands programmes internationaux de recherche intégrés sur le climat, l’utilisation des sols, la transition énergétique, etc.). Il met l’accent sur les méthodes quantitatives destinées aux démarches prospectives sur les aspects énergie/climat/environnement.
En termes d’emplois, les diplômés occupent les postes suivants :
Des étudiants ont rejoint le Corps des Ingénieurs des Ponts, Eaux et Forêts, et celui du Corps de la Météorologie.
Si le parcours est ouvert en alternance, c’est seulement pour un (très) petit nombre d’étudiants (1 ou 2 étudiants) souhaitant s’insérer dans les directions « recherche » et études des grandes entreprises ou dans des laboratoires d’instituts de recherche afin de s’insérer dans ces structures dès le M2. L’orientation du parcours est très nettement tournée vers la recherche, publique ou privée.